Putain

La période où j’ai fait l’amour pour la première fois avec ma sœur n’a pas vraiment été la plus heureuse de ma vie. Ma petite amie, Sjoukje, avec qui je vivais depuis cinq ans, était tombée amoureuse d’un collègue. En quelques semaines, tout était parti en vrille. J’avais remarqué quelque chose. D’un moment à l’autre, elle avait soudain été très distante. Quand je lui ai demandé ce qui se passait, elle m’a ennuyé, mais je savais que ce n’était pas bien. Tout a été applaudi la nuit où elle a soudainement voulu parler. Il y a environ trois semaines, “quelque chose” s’est passé entre Sjoukje et son collègue Patrick. Elle était amoureuse et il n’y avait pas de retour possible. Le soir même, elle a emménagé avec lui.

Elle était douloureusement honnête. Oui, jusqu’à il y a quelques semaines, elle était heureuse avec moi. Oui, Sjoukje et Patrick avaient fait l’amour. Oui, plusieurs fois pendant les pauses déjeuner à notre appartement. Non, il ne servait à rien de se battre pour notre relation.

La douleur, la tristesse et la colère tourbillonnaient dans mon corps et j’ai dit que j’avais besoin d’air frais. J’ai dû sortir un moment, car j’avais peur de ne pas pouvoir me contrôler autrement. Quand je suis revenu, cinq minutes plus tard, elle était déjà partie. Quand j’ai voulu l’appeler, j’ai vu qu’elle m’avait envoyé un message. “Je t’appellerai après le week-end” était apparemment tout ce qu’elle avait à me dire.

Ce week-end-là, j’ai surtout erré en ville. Je ne pouvais pas le supporter à la maison. Partout où je regardais, je voyais Sjoukje et son collègue faire l’amour dans mon esprit. Non pas que le fait d’errer dehors me distraie beaucoup. L’idée qu’elle s’amusait en même temps avec un autre homme me consumait. Je pensais vraiment que ce week-end allait me rendre fou.

Rendre visite à ma soeur
Ce dimanche après-midi, je me suis à nouveau promené sans but dans la ville lorsque ma sœur, Rose, m’a appelé. Elle m’a demandé où j’étais. J’avais complètement oublié qu’elle venait dîner avec nous. Aussi vite que j’ai pu rentrer chez moi, j’ai trouvé ma sœur irritée et froide sous le porche de notre immeuble. Son irritation a vite fait place à l’anxiété quand elle m’a vu. “Qu’est-ce que tu as ?” me demanda-t-elle avec de grands yeux. “Bientôt”, murmurai-je, en lui tenant la porte ouverte.

Lorsque nous nous sommes assis sur le canapé avec une tasse de café quelques minutes plus tard, je lui ai raconté ce qui s’était passé. Elle n’a rien demandé, n’a rien dit et m’a juste laissé raconter tranquillement mon histoire. C’était exactement ce dont j’avais besoin, pas de conseils sages ou de commentaires, juste une oreille attentive. Quand j’ai terminé mon histoire, il y a eu un moment de silence. Finalement, elle m’a demandé comment je me sentais maintenant. Je lui ai dit que je ne pouvais penser à rien d’autre de toute la journée et que je supportais à peine d’être à la maison. Elle m’a proposé d’emménager avec elle pour le moment, si je le voulais. Elle était célibataire, il lui restait deux chambres et elle trouvait cela assez confortable. J’ai dit que j’allais y réfléchir.

Nous avons commandé quelque chose à manger et avons parlé de toutes sortes de choses pour le reste de la soirée. Je me sentais encore mal, mais ça m’a fait du bien de pouvoir au moins changer un peu d’avis. Cependant, ce n’était que pour une courte période. Quand Rose est partie, le silence est revenu. J’ai essayé de m’endormir, mais je ne faisais que broyer du noir. L’idée que Sjoukje était maintenant au lit avec un autre gars m’a tellement pris à la gorge que ça m’a rendu physiquement malade. J’ai essayé de travailler un peu, mais bien sûr, je n’ai pas pu me concentrer une minute. Finalement, je me suis habillé vers 3 heures du soir et j’ai recommencé à me promener dehors.

Quelques heures plus tard, je suis entré dans un café qui ouvrait toujours tôt, pour me réchauffer un peu. J’ai bu deux tasses de café et j’ai appelé ma sœur pour lui demander si j’étais toujours le bienvenu. Si j’ai promis de ne pas la réveiller à une heure aussi stupide, j’étais plus que bienvenu. Plus tard dans la matinée, j’ai fait mes valises et je suis parti pour l’appartement de ma sœur. Les jours suivants, j’ai remarqué que Roos faisait tout ce qu’il pouvait pour me faire plaisir. Cela a fonctionné. Je ne me sentais toujours pas bien, mais j’ai trouvé un peu de repos, j’ai pu dormir à nouveau et c’était juste amusant. Ces jours-là, je n’avais pas du tout de nouvelles de Sjoukje et je n’osais pas l’appeler.

Je fais la queue à la caisse, au supermarché. Pour moi, c’est une femme qui a quelques problèmes avec ses bagages. Je demande si je peux l’aider. Elle lève les yeux et je vois un joli visage doux avec une paire de beaux yeux qui me surprennent. Je l’aide à faire ses courses et je pars avec elle.

“Où est votre voiture ?”, je demande. Elle me regarde en souriant et me dit : “Je ne l’ai pas, je dois prendre le bus”. Je la regarde avec étonnement et je vois maintenant à quel point elle est une femme merveilleusement excitante. Je sens que mon entrejambe s’est développé et mon cœur bat la chamade. “Je te ramène à la maison, ma voiture est là-bas”. Elle me regarde avec ces beaux yeux et me dit : “Tu veux vraiment faire ça ? Je vis en dehors de la ville”.

“Pas de problème. J’aimerais le faire pour une si belle femme”, ai-je plaisanté. Elle rit à nouveau et nous marchons vers la voiture, je mets ses sacs dans la voiture et je garde la porte ouverte pour elle et quand elle est montée, j’ai vu qu’elle était vraiment ce dont j’avais toujours rêvé. Une femme bien soignée et à l’endroit où elle devrait être.

J’ai vu ses jolies jambes rembourrées, couvertes de bas nylon noir, glisser dans ma voiture. En entrant, j’ai vu un morceau de cuisse nue qui dépassait des bas de nylon et ma tige a commencé à pousser de façon spectaculaire dans mon pantalon. Je l’ai aidée avec la ceinture et j’ai soi-disant heurté accidentellement ses gros seins dont je pouvais voir les formes sous son chemisier. Oh comme c’était beau et j’ai spontanément commencé à avoir des fuites dans mon entrejambe. Ça marche pour moi dès que je suis excité, mon gland est trempé. Je me glisse rapidement derrière le volant et la bosse dans mon pantalon beige clair est bien visible. Je me suis dit que ce qui m’importe, c’est tout ou rien maintenant.

En partant, je lui ai demandé si elle voulait fumer et que les cigarettes étaient dans la boîte à gants. Elle a ouvert le casier et a attrapé les cigarettes et a vu mon appareil photo numérique allongé là, tout en allumant une cigarette, elle a demandé : “Es-tu photographe ? Non, j’ai dit que j’utilisais l’appareil photo comme passe-temps. Qu’est-ce que vous photographiez alors, a-t-elle demandé ? Tout ce que je trouve intéressant, je l’ai dit.

Je pouvais à peine la quitter des yeux et je continuais à fuir en voyant ces belles jambes et la belle courbe de ces seins pleins. J’ai toujours rêvé de faire un album photo, ai-je dit. Oh oui, elle a dit ce qu’elle avait demandé. J’ai colorié et dit, un album pour prouver la beauté des femmes matures en peluche et pour montrer qu’elles sont spéciales j’ai dit.

C’était une nuit d’été terriblement chaude, comme il y en a de plus en plus dans notre petit pays de grenouilles ces jours-ci. Mon T-shirt est resté collé à mon corps moite. La fine feuille qui se trouvait sur moi m’irritait, mais quand je l’ai enlevée, elle était encore moins confortable. Je ne peux pas dormir sans un drap ou une couette sur moi. Pour la première fois depuis longtemps, un homme à côté de moi me manque. Quelqu’un avec qui s’abandonner à la chaleur et faire l’amour ensemble. Je ne l’aurais probablement pas moins chaud, mais tout à coup, j’ai fortement ressenti ce désir. Pendant longtemps, j’étais allongé, me retournant et pensant, mais m’endormir ne marchait pas.

Non seulement
Mais j’ai dû tomber dans un sommeil profond à la fin, parce que je n’avais rien entendu. Je me suis réveillé parce que j’ai senti ton corps s’appuyer sur mon corps. Ta main était posée sur ma bouche et j’ai senti la chaleur de ton souffle caresser mon oreille.

“Je ne veux pas te faire de mal, mais si tu te mets à crier quand je retire ma main de ta bouche, tu le regretteras”, m’a-t-on dit à l’oreille.

Mon cœur battait fort dans ma poitrine, je me demandais ce que vous vouliez. J’ai senti le sang couler dans mes veines et soudain il est devenu froid. Intensément froid.

“Rendez-vous et profitez-en. Ne vous battez pas, vous n’avez aucune chance”.

Tu t’es levé, tu m’as attrapé par les cheveux et tu m’as forcé à m’agenouiller. Il faisait si noir que je ne voyais rien. J’ai senti quelque chose de doux et de soyeux se brosser le long de mes lèvres. Mon cœur battait plus fort, mais soudain la peur avait disparu et avait fait place à l’incrédulité.

Dis, tu aimerais aller dans les dunes avec ta mère cet après-midi ? Vous voulez dire prendre un bain de soleil à poil ? Oui, pourquoi, tu ne veux pas voir le corps nu de ta mère ou autre chose ? Tu n’es pas sale sur moi, n’est-ce pas ? Non, bien sûr que non, mais…..

Mais quoi, oh, attends, peut-être que tu as peur que ta bite pousse. Mon Dieu, maman, j’ai répondu avec une tête rouge. Quel est ton problème ? Tu es assez âgé et ça ne me dérange pas du tout si tu me vois nue. Et quand vous avez une bite dure, il n’y a personne d’autre que moi qui peut la regarder. Oui, mais quand même, ça ne serait pas un peu bizarre pour toi de voir ça avec ton propre fils ? Chérie, je m’en fiche. Tu viens ou pas ?

La chatte chauve de ma mère
Une heure plus tard, nous sommes arrivés à la large rangée de dunes et avons descendu le chemin vers son endroit préféré. Ma mère a regardé autour d’elle et nous avons rapidement franchi la barrière pour entrer dans l’espace clos. En cinq minutes, nous étions partis et personne ne pouvait plus nous voir. Arrivée sur place, elle a ouvert son grand sac et a déroulé un grand drap. Puis elle a laissé sa jupe-culotte glisser sur le sol et j’ai vu sa chatte chauve près de moi.

Alors que j’étais assis sur le sol, elle a pris une bouteille de coup de soleil et me l’a enfoncée dans les épaules. Avec mes vêtements empilés, j’étais maintenant complètement nu et je sentais ses mains chaudes me parcourir le dos. À genoux devant moi, elle s’est maintenant aussi occupée de mon ventre et de ma poitrine et m’a clairement vu regarder sa chatte rasée.

Vous aimez ça, et en la regardant avec une tête rouge, elle a ri doucement. Mon Dieu, chérie, ne sois pas si tordue, si tu veux regarder ma chatte, vas-y. Elle a pris sa chemise et, assise juste devant moi, elle l’a tirée sur ses oreilles. Elle avait de gros seins et ils ont été serrés pendant 52 ans.